A la fin du mois de mars, j’arrivai à Angoulême un soir de printemps. Je montai jusqu’à la ville haute, au bas des remparts, où j’avais mon logement. La fenêtre donnait plein sud-ouest sur le dénivelé et la voie du chemin de fer, dont le tunnel coupe la colline. Soirée douce, fraîche et tranquille.