Vient un moment où la beauté, toute beauté (celle du monde, celle des êtres, celle des œuvres) nous éprouve parce qu’elle nous renvoie, violemment, à notre essentielle insuffisance.
François DEBLUË, in Conférence n°28, p.121
Vient un moment où la beauté, toute beauté (celle du monde, celle des êtres, celle des œuvres) nous éprouve parce qu’elle nous renvoie, violemment, à notre essentielle insuffisance.
François DEBLUË, in Conférence n°28, p.121