Je découvre chez Dhôtel cette étonnante pratique poétique, telle qu’elle est suggérée par ce que réalise Damien, au début de Je ne suis pas d’ici.
Il collectionne les objets, puis par manque de moyens, il commence à collectionner les images (vues, vécues, …) qu’il recense par écrit. C’est l’occasion d’une écriture véritablement poétique. Il s’aperçoit que ces images, ces rencontres sont extraordinaires, qu’elles sortent de l’ensemble raisonnable d’une vie totalement cernée par l’explication rationnelle.